Histoires d'une fille libre

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Kuroko no Basket - "Je suis un électron libre"


Fanfiction sur Kuroko no Basket : "Je suis un électron libre" (Chapitre 1)

                                                   électron libre chap. 1 (2).gif

 

Hey !!!

 

Et non, cette semaine, pas de mec invisible ou d'OC complétement bizarre !!! Désolée, je suis pas trop inspirée par cette fanfic', en ce moment.

 

Non, cette semaine, on va jeter un œil du côté du lycée Rakuzan, du côté de trois des cinq rois sans couronne, du côté du personnage le plus classe de tout l'univers de Kuroko no Basket, j'ai nommé : Akashi Seijuro !!!

 

Donc voilà, j'espère que vous allez aimer, tout ça...


 

Chapitre 1 :

 

Cette fille, il ne la connaissait pas.

Elle n'était dans sa classe que depuis le début de cette seconde année de lycée.

Jusqu'à présent ils n'avaient pas échangé un seul mot, et ni l'un ni l'autre ne s'en portaient plus mal.

Pourtant, lorsque, un jour de mi-Mai, il avait décider que, pour une fois, il pouvait bien déjeuner sur le toit du lycée avec ses coéquipiers du club de basket, qu'il avait vu cette fille aux longs cheveux bruns attachés sur le côté en une queue de cheval, qu'il avait entendu sa voix, il avait été fasciné.

 

-Tu as vu, Akashi, elle chante bien, hein ? avait dit Hayama avec son enthousiasme coutumier.

 

La jeune fille avait cessé de chanter. Elle c'était tournée vers eux, et, sur son visage, l'Empereur pu voir quelque chose qui ressemblait à de la... panique ?

Elle c'était précipitée vers la porte, bousculant au passage un Akashi troublé. Il eu le temps de la voir jeter un regard noir à Kotarô.

 

-Hé, qu'est-ce qui lui prend, à celle-la ?! s'exclama Nebuya.

 

-Ce n'est pas une manière de parler d'une dame ! lui reprocha son coéquipier efféminé.

 

Pendant que les deux jeunes hommes se disputaient, Akashi se tourna vers Hayama.

 

-Dit moi, tu la connais ? demanda-t-il.

 

-Oui, affirma l'intéressé, une expression d'incompréhension sur le visage. Elle s'appelle Hope O'Connell, elle est d'origine anglaise. Elle est arrivée au Japon vers ses 10 ans. Je la connait depuis le milieu du collège.

 

Le basketteur souriait toujours, mais sans son entrain habituel.

 

-Je vois, dit Akashi.

 

-Sei-chan, oublions ça et mangeons ! dit Reo avec bonne humeur.


-Hope-chan !!!!

 

Kotarô courait après la jeune fille dans le couloir. La sonnerie annonçant la fin des cours venait de retentir. Elle se tourna vers lui, et le regard qu'elle lui lança le fit frissonner.

 

-Qu'est-ce qui t'as pris, tout à l'heure, sur le toit ?!  lui demanda-t-il.

 

-Qu'est-ce que ça peut te faire ? répondit-t-elle du tac au tac.

 

-Je veux juste comprendre-

 

-Tu sais très bien que je déteste qu'on m'écoute chanter ! Tu le sais ! martela-t-elle.

 

-Et pourquoi détestes-tu cela ? demanda une voix calme dans le dos de la jeune fille.

 

Elle se retourna et vit le garçon aux cheveux rouges qui était avec Kotarô, sur le toit. Il la fixait de ses yeux écarlates, un sourcil levé, l'air interrogateur.

 

-Alors ?

 

-Occupe-toi de tes affaires, répondit sèchement la jeune fille.

 

Elle fit un mouvement pour partir, mais l'Empereur lui barra la route.

 

-Ne me parle pas de cette manière, lui intima-t-il.

 

-Qui es-tu pour me donner des ordres ?

 

Sans attendre de réponse, elle le contourna et s'en alla.


-Elle a été la manager de notre club au collège. Elle faisait de l'excellent boulot !! lui avait assuré Kotarô.

 

La veille, le blond lui avait beaucoup parlé de Hope. Comme la place de manager était libre au sein du club de basket, il lui avait dit qu'elle serait la personne idéale.

Seulement, d'après les événements de la veille, la jeune fille semblait avoir un sacré caractère, doublé d'une certaine insolence, et Akashi n'était pas certain d'arriver à supporter ce cyclone miniature qui osait lui adresser la parole avec si peu de respect.

 

Le cyclone miniature en question était quand à lui en pleine conversation avec Hayama et Reo, appelé à l'aide par son coéquipier.

 

-Tu exagères ! Il était simplement curieux ! s'écriait Kotarô.

 

-Fiche-moi la paix, répondit Hope.

 

-Tu as été totalement irrespectueuse envers Sei-chan ! soutint Mibuchi, l'air indigné.

 

-Non mais de quoi tu te mêles, toi ?! répliqua sèchement la jeune fille.

 

-Raah !! Ton amie est une vraie bourrique, elle est irrécupérable !!! lança le garçon aux cheveux noirs à son coéquipier avant de s'en aller.

 

Kotarô se tourna vers la brunette.

 

-Tu devrais au moins t'excuser au près d'Akashi, dit-il en la regardant sévèrement.

 

-J'imagine que tu ne me laisseras pas tranquille ? soupira-t-elle.

 

-Tu imagines bien.


-Je m'excuse, dit-elle nonchalamment à Akashi.

 

-Tu n'en penses pas un mot, n'est-ce pas ? répondit celui-ci dans un sourire.  

 

-C'est exact, mais Raijû ne me fichera pas la paix tant que je ne me serai pas excusée, donc bon...

 

-"Raijû" ? C'est comme cela que tu appelles Hayama ?

 

-Oui. J'aime bien donner des surnoms aux gens.


Le silence s'installa un instant, puis le roux prit la parole :

 

-Hayama m'a dit que tu avais été la manager de son club au collège. Il paraît que tu faisais de l'excellent travail.

 

Elle le regarda dans les yeux sans ciller et sans paraître impressionnée, ce qui était plutôt rare.

 

-Tu veux que je devienne manager ici aussi ? demanda-t-elle.

 

-Tu comprends vite.

 

-Quelles sont les contraintes ?

 

-Tu devras être présente à tous les entraînements, qui ont lieu les mardi,jeudi et samedi, ainsi qu'aux matchs, l'informa le capitaine.

 

Elle réfléchit quelques secondes, puis répondit :

 

-C'est d'accord, Ta Majesté !

 

-Pardon ?

 

-C'est ton surnom à partir de maintenant ! dit-elle joyeusement avant de tourner les talons.

 

L'Empereur soupira. Il n'était pas certain de vouloir de ce surnom, mais il était convaincu que la jeune fille continuerai de l'appeler de cette manière quoi qu'il lui dise.  


Voilà !!

 

Comme la semaine dernière, l'écriture de ce chapitre a été laborieuse, mais en même temps je ne pouvais pas m'empêcher de pouffer de rire en écrivant, donc ça va, on va dire que ça compense.

 

Par contre, je ne suis pas certaine d'avoir réussi à retranscrire parfaitement le caractère de certains personnages (Akashi et Kotarô), donc n'hésitez pas à dire dans les commentaires si c'est bien ou pas !

Je précise que cette fic' se déroule après la Winter Cup, donc pas la peine de me dire  " Akashi est censé être plus psychopathe/méchant que ça", je vous rappelle qu'après la Winter Cup, il redevient GENTIL !!!!!

 

A la prochaine, les gens !!


24/10/2015
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Fanfiction sur Kuroko no Basket : "Je suis un électron libre" (Chapitre 2)

Hello !!

 

Cette semaine, retour à Rakuzan, je crois que je vais poster un chapitre de cette fic' une fois sur deux, pareil pour l'autre. 

 

Ce chapitre est très différent du précédent, ou même de ceux de "L'être humaine est bien peu de chose". Ça sera comme ça un chapitre sur deux. Pour que ça soit clair, c'est le point de vue de Hope, qui écrit au présent dans un genre de journal intime. Chronologiquement, tout les chapitres de ce genre se dérouleront après le chapitre le précédant.

 

Je dis bravo à ceux qui ont comprit ces explications extrêmement merdiques, quand je me relis je comprends juste que dalle.

 

Ces chapitres seront sans doute toujours aussi courts que celui-ci, alors je m'excuse d'avance. Mais bon, ça me fait un genre de pause, c'est pas facile de pondre un chapitre par semaine, alors, même si je suis un peu aidée par la Playlist qui me donne un délai supplémentaire d'une semaine, et aussi par des amis qui me conseillent (très vite fait, et je retiens pas chaque conseil),

 

...

 

Je ne sais plus comment finir cette phrase qui est devenue beaucoup trop longue, donc il me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture et à finaliser cette intro complétement pourrie par un mot totalement random que j'ai choisi au hasard en ouvrant mon dico : Fronsac ! (J'vous jure que c'est vraiment ce mot que je suis tombée !!)

 

*EPIC FAIL*

 


 

 Chapitre 2 :

 

Roulée en boule sur mon lit, je respire difficilement. Putain d'asthme.

Des larmes irrépressibles coulent sur mes joues. Non pas que je sois triste, j'en ai juste marre, et j'ai peur. L'autre tape tellement fort sur la porte de ma chambre - que j'ai fermé à clé - que j'ai peur qu'elle finisse par la défoncer. C'est sans doute se qu'elle cherche à faire, de toute façon. Mais si elle y arrive, je me demande quand même comment elle pourra expliquer ça à mon père. Elle rejettera sans doute la faute sur moi.

 

-Ouvre-moi, ma petite fille ! crie-t-elle à travers ma porte.Tu as été vilaine d'arriver en retard, tu dois recevoir ta punition !

 

En retard ? Peut-être, d'une ou deux minutes. Mais il paraît qu'une ou deux minutes, ce n'est pas rien dans la préparation d'un «dîner parfait».

 

Dîner dont elle s'empressera de s'attribuer la préparation, alors qu'elle n'aura fait que me frapper afin que ladite préparation s'accélère. Comme si ça allait accélérer quelque chose.

 

Tiens, les coups à la porte se sont arrêtés. Elle a peut-être enfin comprit que quelqu'un de censé n'ouvrira jamais la porte à une tarée comme elle. Ma peur s'apaise, et je parviens enfin à respirer normalement.

 

Je n'ai plus qu'à attendre que Papa ne rentre pour sortir de ma chambre. Elle n'osera jamais me frapper devant lui. Elle est folle, mais pas stupide. Elle sait très bien qu'il choisira de me protéger plutôt que de rester avec elle.

 

J'entends un bruit, juste derrière ma porte. Un bruit bizarre, je ne sais pas trop à quoi on peut le comparer. Et puis, juste après, j'entends comme un bout de métal qui tombe par terre.

 

Oh non.

 

Elle est en train de dévisser la poignée de ma porte.

 

Je me remets à pleurer, et ma respiration est de nouveau sifflante.

 

J'entends la quatrième et dernière vis tomber sur le sol. La porte s'ouvre.

 

-Tu dois avoir ta punition !


Bon, j'espère que ça vous a plut, et que vous avez comprit, et si c'est pas le cas, dites-le moi dans les commentaires. Ah, et un p'tit J'aime fait toujours plaisirs !

 

A+ !


14/11/2015
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