Histoires d'une fille libre

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Fanfiction sur Kuroko no Basket : "Je suis un électron libre" (Chapitre 2)

Hello !!

 

Cette semaine, retour à Rakuzan, je crois que je vais poster un chapitre de cette fic' une fois sur deux, pareil pour l'autre. 

 

Ce chapitre est très différent du précédent, ou même de ceux de "L'être humaine est bien peu de chose". Ça sera comme ça un chapitre sur deux. Pour que ça soit clair, c'est le point de vue de Hope, qui écrit au présent dans un genre de journal intime. Chronologiquement, tout les chapitres de ce genre se dérouleront après le chapitre le précédant.

 

Je dis bravo à ceux qui ont comprit ces explications extrêmement merdiques, quand je me relis je comprends juste que dalle.

 

Ces chapitres seront sans doute toujours aussi courts que celui-ci, alors je m'excuse d'avance. Mais bon, ça me fait un genre de pause, c'est pas facile de pondre un chapitre par semaine, alors, même si je suis un peu aidée par la Playlist qui me donne un délai supplémentaire d'une semaine, et aussi par des amis qui me conseillent (très vite fait, et je retiens pas chaque conseil),

 

...

 

Je ne sais plus comment finir cette phrase qui est devenue beaucoup trop longue, donc il me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture et à finaliser cette intro complétement pourrie par un mot totalement random que j'ai choisi au hasard en ouvrant mon dico : Fronsac ! (J'vous jure que c'est vraiment ce mot que je suis tombée !!)

 

*EPIC FAIL*

 


 

 Chapitre 2 :

 

Roulée en boule sur mon lit, je respire difficilement. Putain d'asthme.

Des larmes irrépressibles coulent sur mes joues. Non pas que je sois triste, j'en ai juste marre, et j'ai peur. L'autre tape tellement fort sur la porte de ma chambre - que j'ai fermé à clé - que j'ai peur qu'elle finisse par la défoncer. C'est sans doute se qu'elle cherche à faire, de toute façon. Mais si elle y arrive, je me demande quand même comment elle pourra expliquer ça à mon père. Elle rejettera sans doute la faute sur moi.

 

-Ouvre-moi, ma petite fille ! crie-t-elle à travers ma porte.Tu as été vilaine d'arriver en retard, tu dois recevoir ta punition !

 

En retard ? Peut-être, d'une ou deux minutes. Mais il paraît qu'une ou deux minutes, ce n'est pas rien dans la préparation d'un «dîner parfait».

 

Dîner dont elle s'empressera de s'attribuer la préparation, alors qu'elle n'aura fait que me frapper afin que ladite préparation s'accélère. Comme si ça allait accélérer quelque chose.

 

Tiens, les coups à la porte se sont arrêtés. Elle a peut-être enfin comprit que quelqu'un de censé n'ouvrira jamais la porte à une tarée comme elle. Ma peur s'apaise, et je parviens enfin à respirer normalement.

 

Je n'ai plus qu'à attendre que Papa ne rentre pour sortir de ma chambre. Elle n'osera jamais me frapper devant lui. Elle est folle, mais pas stupide. Elle sait très bien qu'il choisira de me protéger plutôt que de rester avec elle.

 

J'entends un bruit, juste derrière ma porte. Un bruit bizarre, je ne sais pas trop à quoi on peut le comparer. Et puis, juste après, j'entends comme un bout de métal qui tombe par terre.

 

Oh non.

 

Elle est en train de dévisser la poignée de ma porte.

 

Je me remets à pleurer, et ma respiration est de nouveau sifflante.

 

J'entends la quatrième et dernière vis tomber sur le sol. La porte s'ouvre.

 

-Tu dois avoir ta punition !


Bon, j'espère que ça vous a plut, et que vous avez comprit, et si c'est pas le cas, dites-le moi dans les commentaires. Ah, et un p'tit J'aime fait toujours plaisirs !

 

A+ !



14/11/2015
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